Que dire des motocross, si ce n'est un outil de travail. Vous voyez les motoculteurs, et bien sans mauvais jeu de mot, c'est un peu la même culture. Pour employer cet outil, il faut être dans un environnement de terre. Évidemment, les utilisateurs de ces engins sont avant tout des professionnels de la course sur terre, que ce soit en MX1 ou 2 ou en FMX. Sa vocation n'est absolument pas « moto-boulot-dodo ». Au niveau tarifs, bien qu'un cross ne coute pas grand chose à assurer, il est deux fois plus cher à l'achat qu'un roadster à cylindrée équivalente. L'arnaque quoi. Encore un dernier point négatif me vient, il s'agit du bruit. En effet, la plupart des cross sont encore au deux-temps, vient avec le bruit et la pollution.

Exemple de cross : KTM 350 SX–F, SUZUKI RMX 450 Z, etc.

Trail & Enduro

Hybrides entre cross, pour leur capacité de franchissement, et une routière, pour leur capacité de charge, les moto de Trail ou Enduro ont du mal à être distinguées. Et pour cause, la première ressemble à un roadster sur-élevé plutôt fluet, quant au second il pourrait ressembler à une grosse moto-cross sur-équipée. Le tarif de ces machines est tout aussi prohibitif que leurs consœurs. Par contre, de part le capacité de franchissement, elles sont les bienvenues en Haute-Saône et dans l'Aisne. Aussi elle sont réservé aux grandes personnes (par leur taille) et non aux nimbus qui s'acharnent à y installer des kit de rabaissement.

Exemple de trail et d'enduro : Suzuki V-Strom, Yamaha Super Ténéré, etc.

Supermotard

On peut simplifier en disant qu'un Supermatard (la moto, pas le pilote) peut se résumer à être une moto-cross avec des pneus de route. De fait, c'est une bécane nerveuse et inconfortable au possible, grâce à sa merveilleuse selle en bois... et ce n'est pas une image. L'usage quotidien est bien-sûr possible mais c'est en compétition qu'elle brille le plus. Véritable machine de délire, elle reste dans les mêmes gammes de prix que les cross, bien qu'étant plus chère à assurer.

Exemple de Supermotard : Ducati Hypermotard, Aprilia SXV, etc. 

Scooter

Machine pratique en ville. Se faufile partout. Bien que la majorité des scooters en circulation soit des 50cc jusqu'à la 125cc, il sont considérés à tord comme des motards. Utilisateurs de 2RM (2 Roues Motorisé) oui, motards non! Je rappelle qu'un motard est une pratiquant de 2RM ayant passé un permis A voire AL! Guerre moins!

Pour moi, le scooter est une catégorie extrême. D'un côté, il y a les jeunes qui vont au collège ou au lycée dessus et qui se tuent avec, et d'un autre côté, il y a les cadres supérieurs parisiens pressés qui vont au boulot et qui remontent les files comme des porcs... et se tuent avec. Sans parler des firmes comme Piaggio, qui s'amusent à contourner les lois sur les largeur d'essieux avant pour pouvoir augmenter la puissance des machines et les vendre à des gens qui ne sont pas plus capables de maitrise ladite puissance. Outre ces fait, le scooter est un machine fluide et maniable en milieu urbain. Quant au coût d'utilisation, il est pas très onéreux pour les petites cylindrée et devient prohibitif en montant dans les grosses cylindrée du type permis A. Cette machine est raisonnable à assurer en dehors des régions à forte densité de population.

Exemple de scooter : Peugeot Kisbee, Suzuki Burgman, etc.

Trial

Machine exclusivement réservée aux personnes souffrant d’hémorroïde, le Trial est une moto de loisir de franchissement d'obstacle. Réservée pour une clientèle ayant la flemme de prendre l’ascenseur ou de faire de la randonnée pédestre, elle est très chère à l'achat au vu de sa cylindrée mais peu au vu de son assurance. Unijambiste s'abstenir!

Exemple de moto trial: Gas-Gas TXT 280, Sharco 05, etc.

Pocket Bike

Là, nous avons à faire avec la moto des nains et des petits d'homme. Il se pourrait bien aussi que certains déçus de la catégorie des Trails se soient rabattus sur celle-ci. Récemment, ce genre de véhicule a été bannie de la circulation et subissant presque une loi martiale du pouvoir policier suite l'irresponsabilité d'une minorité d'individus. Pour le reste, c'est un véhicule bien fun réservé aux circuit et aux domaines privés.

Exemple de Pocket-bike: À peu prêt n'importe-quel moteur de tronçonneuse équipé de 2 roues en gomme...

Cette dernière semaine, la Sécurité Routière (noté "SR" dans le texte) se décide enfin à penser au monde des deux-roues motorisés. Pour se faire, la SR présente quatre vidéos de 20 secondes qui mettent en scène des accidents de la circulation impliquant des 2RM mais aussi des voitures (caisseux).  Pourquoi seulement 4 situations? Tout simplement parce que ce sont ces situations qui ressortent le plus dans les statistiques d'accidentologie. Et comme nous ne sommes que des chiffres, il faut bien commencer par le plus gros; sauf bien sûr lorsqu'il faut passer à la caisse, dans ce cas , ce n'est pas le plus gros qui paye, mais cela est un autre sujet.

1. Déboiter sans regarder ni signaler:

Un grand classique: pas de contrôle visuel direct de la part du caisseux, pas de signalisation (clignotants). D'un autre côté, le scooter se faufilant dans la circulation est imprudent, ne respectant pas les distances de sécurité, et là c'est le drame (jolie cascade au passage!). Encore un accident qui aurait pu être évité! Commençons par le scooter. Son manque de formation (avant 2007) ne justifie pas son allure un peu rapide en circulation urbaine. J'ai rien contre "l'interfilage" (remontée de file) quand c'est bien fait, à une allure raisonnable. Mais dans ce comportement scooteriste est discutable. Quant au caisseux, ne pas faire ses contrôles directs est un manque de responsabilité. C'est pas parce qu'on est dans une caisse à roues qu'on peut se permettre de croire que toutes les créatures de la circulation automobile est blindée. Outre le comportement "ça regarde qui où que je vais", il est bien d'indiquer où l'on tourne, c'est une nécessité. On est pas seul sur la route.

2. Doubler par la droite:

Là, je dis "faute"! Il est bien triste de voir que les 2RM se complaisent à doubler par la droite. Encore une fois, ce n'est pas pour rien qu'on ne doit pas dépasser par la droite, mais un scooteriste mal formé (voire pas du tout) peut le faire. Dans cet exemple le scooter est bien en faute et en plus de l'angle mort de la camionnette, il a du surprendre celle-ci. Dans ce cas, à qui la faute? Le scooter ou le système de formation. Éternel débat.

3. Sortie de route:

Je ne voudrais pas polémiquer sur la façon dont est faite cette vidéo (les images sont artificiellement accélérée) mais il y a une chose qu'apprennent les motards lors de leur formation, c'est qu'il faut adapter sa vitesse d'entrée de courbe en fonction de la visibilité et de l'angle du virage. Ici, il n'y a aucune raison de se planter dans un virage pareil. Je ne cautionne pas non-plus les "kékés" qui se prennent pour Rossi ou consort, mais l'exemple de cette vidéo est décalé, voire déplacé. En effet, la peur de pencher peut se justifier en cas de perte d'adhérence mais ne doit être en aucun cas une cause de chute. Il en va de la confiance en soi. Le meilleur exemple serait un pilote en sportive sur un enchainement de courbe rapide, sortant le genou. Bref, le mec qui y croit! Au lieu de ça, on a un mec (encore de le discrimination féminine?) en routière/trail, qui penchant à peine dans un virage, se vautre lamentablement. Pour moi, ça passait et sans aucune prétention. Pas crédible quoi.

4. Ouverture de portière:

Pour une fois, on peut se rendre compte de l'aspect choquant de subir un accident de ce type. Solution à ce problème: il faut faire un contrôle direct. Il n'y a rien de mieux. J'ai l'impression que dans les formations de caisseux, on oubli systématiquement de regarder ou l'on va. Pour s'obliger à faire ce fameux contrôle, il faut ouvrir sa portière avec le bras opposé à celle-ci. Par exemple, quand on est conducteur (en France) il faut ouvrir la porte avec le bras droit. C'est valable aussi pour les passagers! Pour ouvrir une porte à droite, utilisez le bras gauche! C'est dur, c'est chiant, mais ça peut éviter un accident. D'un autre côté, on voit que l'accident arrive avec un scooter. Le bon exemple! Il faut savoir qu'avant 2007, les scooters de 50cc (centimètre-cube) n'était pas tenu de faire une quelconque formation. Et c'est ainsi que de fréquents accidents survinrent. Tout ça parce qu'il manque aux scootéristes une notion essentielle apprise lors de la formation moto: l'évitement.

Pour conclure, c'est une bonne chose que la sécurité routière s'intéresse au 2RM. Mais il est dommage que dans la conscience collective on retrouve et utilise le fait que dans 50% des cas (des vidéos du moins) les 2RM soient fautifs. On retrouve le dépassement par la droite et la sur-vitesse en courbe. Mais bon on se la ferme, c'est sûrement de notre faute puisque selon la SR "Tous Responsables". Quel cynisme! Quel humour!

Par cette météo enneigée, il temps de penser à une période plus clémente: Le printemps. En cette magnifique période coïncident différents artéfacts notable comme l'éclosion des bourgeons arboricoles, l'augmentation significative de moto sur les routes, et l'éclosion de l'acné juvénile des adolescents en ruts, entre autre.

Commençons par la description des différentes catégories qui permettent dans un premier temps de se faire une idée du futur état d'esprit propres à leur genre.

La classique

Cette monture est physiquement proche de la genèse de la motocyclette. C'est-à-dire, un cadre presque pris d'un vélo, un moteur disgracieux pas très performant, de deux boudins de vélo et de jantes à rayons, de suspensions archaïques, etc. Bref une vieille machine au look rétro dont, en général, le prix de vente exorbitant n'est pas justifié.

Cette monture est à réserver au passionné des vieilles meules roulant occasionnellement et qui n'a pas peur de polir des chromes à longueur de sorties.

Exemples de classiques : Triumph Bonneville, Triumph Scrambler, Gima, Velocette, Royal Enfield, etc.

Café Racer

Proche de sa cousine, la classique, le café-racer se distingue de cette dernière par un guidon bracelet (par opposition à un guidon droit) et de formes plus arrondis. Cette catégorie est difficile à définir car très peu de modèles existant permettrait de définir un design notable.

Cette motocyclette est à associer au macho de base. En effet, à l'origine de faire la course de terrasse de café en terrasse de café, et ne possède généralement qu'une selle monoplace.

Exemple de café-racer: Triumph Truxton, Voxan Café-Racer, Benelli Café-Racer, etc.

Custom

Outil indispensable aux crises de la quarantaine ou élément compensatoire aux problèmes libidineux. Sans hypocrisie, beaucoup de personnes, et particulièrement des mâles, passent le permis moto afin d'acquérir ce genre de véhicule et pouvoir ainsi appâter les jeunes moules. Il est pourtant vrai que le custom est beau avec tous ces chromes et cette silhouette massive. Malheureusement elle ne présente pas beaucoup d'aspects pratiques. Le dernier que j'ai testé étant un 883 low de chez Harley, j'ai pu constater un sentiment de bridage en prenant des rond-points, accompagné d'un bruit de frottement détestable.

En apparence classique, la custom est améliorable à volonté. Plutôt dépouillée, elle n'en demeure pas moins chère. De bonne réputation pour les quinquagénaires, elle n'est pas efficace sur longues route et encore moins au freinage. On peut trouver aussi différentes sous-catégories comme par exemple le "Chopper".

Le coût de l'assurance reste raisonnable, pour le peu que l'on reste en moyenne cylindrée.

Exemple de custom : À eu près toutes les Harley-Davidson, Honda Fury, Triumph Rocket III, Kawasaki VN 2000, etc.

Roadster (Nacked)

Dépourvu de carénage, la roadster est la plus fréquente et la plus simple de conception. C'est un véhicule robuste et pratique. Il est un croisement entre une moto classique et sportive. En exagérant, il peut être assimilé à une sportives sans habillage. Les premières du genre, étant par la même occasion un succès commercial à son époque, est la Honda CB750 Four. Très dangereuse pour l'époque, où l'on ne se donnait pas la peine de développer des technologies de freinage adaptées à la puissance de ces monstres!

Les moyennes cylindrées sont conseillées pour débuter. Ces moto-ci (clette) vont avec tout, sont polyvalentes et ont un faible entretient. Elle demeure la catégorie la plus vendue au monde.

Exemple de roadsters: Suzuki Bandit, Kawasaki Z1000, Honda CB1000, etc.

Sportive

Quand on voit le nom de cette catégorie, tout ou presque est dit. Guidon plus bas que la hauteur de la selle, bulle protectrice, aérodynamique, carénage intégral, petit réservoir, une puissance à décoller le bitume, etc. Elles sont conçues pour consommer aussi rapidement les pneus que le carburant. Cette catégorie permet aussi de voir fleurir les jeunes coqs déçus par le manque de puissance propre aux customs. Utilisées occasionnellement, elle est la plupart du temps impliquée dans des accidents de la circulation.

Outre son aspect peut pratique, c'est le type de machine qui procure le plus de décharge d'adrénaline grâce à leurs vitesses de pointe et leur capacité à prendre de l'angle.

Vivement déconseillée au jeunes permis et de toute façon "inassurable".

Exemple de sportives : Ducati 999, Suzuki GSX-R 1000, Kawasaki 636, etc.

Routière

À l'instar de la classique et de la roadster, la routière est considérée comme basique. Elle est polyvalente et ne nécessite pas beaucoup d'entretien. C'est une version semi-carénée d'une roadster, en particulier chez les japonaises. Elle peut être entièrement carénée comme ses consœurs sportive, mais conserve néanmoins une position de conduite droite.

Quoiqu'un peu lourde, ce qui est dû à sa capacité de chargement et son niveau d'équipement, c'est globalement une bonne machine. Si tant est qu'on ne veuille pas faire la course avec tous les motards que l'on croise, elle vous amènera partout.

Bien-sûr, les moyennes cylindrées sont abordables au niveau des tarifs. En effet, on constate que la plupart des possesseur de grosses routières sont des vieux. Faut-il en conclure que seul une économie drastique tout au long de sa vie est nécessaire pour pouvoir s'en acheter une? Wait and see.

Exemple de routières : Suzuki GSX-F, Honda VFR, Yamaha Fazer, BMW R 1200 RT, etc.

Les autres catégories arriveront prochainement dans un autre post!

Et bien voilà. Incessamment sous peu aura lieu une manifestation à l'échelle nationale des Motards en Colères, représentés par la FFMC. Ce sera le samedi 13 mars 2010. Cette fin de semaine quoi. Une manifestation est une bonne chose quand c'est pour une bonne cause. En l'occurrence, ça l'est. Malheureusement, en consultant la liste des antennes participantes, j'ai eu le regret de constater que le Grand Est est sous-représenté. En effet, j'ai créé une carte la semaine dernière à partir de cette de liste départementale. et voici le résultat.

Pour une meilleure compréhension, la légende est la suivante: En vert, les départements dans lesquels il y aura des manifestations actives;  en orange, les départements un peu plus feignants qui rejoindront des villes actives; en rouge, les lâcheurs qui préfèreront garder leur bécane au chaud en attendant le printemps (et encore). Depuis le jour où j'ai fait cette carte, certains département ont changé d'avis. La majorité de cette minorité rejoindra la catégorie des feignants, ainsi on peut la voir sur la carte d'une couleur un peu particulière, c'est à dire en rouge parsemé d'orange... On fait avec les moyens du bord. J'ai eu un problème de compression entre deux modifications. Ça arrive.

Quoiqu'il en soit, j'avais bien l'intention de représenter la moto dans mon département, qui en passant est le deuxième plus petit département français, quand j'appris il y a une semaine avec horreur et stupéfaction qu'il ne ferait même pas acte de présence ce samedi 13. Depuis, l'erreur a quelque-peu été réparée et fait partit maintenant des départements feignants qui rejoindront d'autres contrées. oui, mais. Se taper à présent 400 km aller-retour sans compter la route surplace pour se faire entendre, je suis désolé, c'est hors de mes moyens. Faut-il être riche pour être un bon motard? Et bien aujourd'hui, le choix du Kinteki sera de rester chez lui.... laver sa meule.

Pour plus d'information et voir la fameuse liste, cliquer ici!

C'est en cette période hivernale que se posent les questions des futures trajets à effectuer avec son brélon. Nous allons traiter aujourd'hui la choix de son itinéraire moto!

Pour commencer, se munir de carte routière à jour. C'est le moment d'investir dans les cartes 2010! Ayant moi même des cartes 2006, avec les changement des noms des routes suite à répartition des budget des réfections des routes, je ne m'y retrouvait plus. "Sans carte, ne jamais partir" disais maitre Yoda. Les cartes sont bien à avoir sur soi sur la route. Par contre pour préparer un itinéraire, il vaut mieux faire appel à la technologie. Pour ma part, j'utilise Google maps! Depuis quelques temps,ce logiciel en Web 2.0 utilise des itinéraire en suivant la route sur la carte! Logique vous allez me dire. Oui! mais une révolution pour moi! Fini pour moi d'aller au tas parce que la carte m'indiquais une ligne droite. Bref.

Agrandir le plan

Gmaps, c'est son petit nom, me permet de bien visualiser la route avant de me perdre. En effet, on peut même visualiser le relief, ce qui laisse supposer la présence d'un virage. Cette méthode est particulièrement désignées pour les crevards des plaines. Quant aux motards de régions semi-montagnarde et montagnarde, ils peuvent s'en taponner les aérations du casque avec une babouche.

Donc, premièrement, il faut commencer par se donner un objectif: lieu touristique, ville, pub, concentration, relais calmos, etc.

Deuxièmement, faire la reconnaissance visuelle avec Gmaps (voir plus haut), afin de percevoir les reliefs intéressants.

Troisièmement, toujours avec Gmaps, tracer un itinéraire avec les options "éviter les routes à péages" ainsi que "éviter les autoroutes" pour les itinéraires inférieurs à 300km.

Quatrième et dernièrement, découper l'itinéraire par tranche de 70km ou 1h de parcours, au premier échut, ceci afin d'économiser le joli fessier de nos chères SDS.  Le Sac De Sable est, conventionnellement chez moi; le nom de la passagère qui équilibre l'arrière de la bécane. Lors du découpage, on peut en profiter pour trouver d'autres lieu touristique à visiter ou un lac pour se rafraichir, ou à défaut, un pub.

Pour finir voici un exemple de ce que l'on peut faire. C'est un projet de boucle dans les Alpes. Bien sûr pour l'instant ce n'est qu'un projet. Donc toutes les indications n'y sont pas.

Afficher La traversé des Alpes N-S sur une carte plus grande

Encore une chose ou deux, en cas d'arsouille à plusieurs sur l'itinéraire ainsi créé, il est conseillé de faire un tour de reconnaissance!

Aujourd'hui, nous allons voir comment bien choisir un agenda 2010 quand on est beau-gosse.

Pour commencer, ne pas le prendre électronique. En général, ça plante au bout de 6 mois et on pleure pour retrouver ses données. Ensuite, du cuir et du papier, c'est peut-être un peu cher mais c'est la classe. Deux choix s'offrent à vous : la beau-gosse attitude et le reste. Concernant la BGA (comprendre : Beau-Gosse-Attitude), on prendra un agenda en fonction de son utilité et de sa façon de s'organiser. Prendre un agenda au format A4 et n'ayant que trois pauvres informations à mettre dedans ne sert à rien. Pour ma part, pour cette année 2010, j'en ai pris un petit, beau, d'une marque pas cheap... bref la classe!

Pour le reste, il y a les autres "agenda" qui comprennent des images et photos (de) bof destinés aux ignobles parasites du système scolaire. Trop chère pour rien...

Pour plus d'info : http://www.moleskine.com/

Aujourd'hui, comme c'est de saison: je te souhaite un joyeux noël et une bonne année 2010; toi ami lecteur (ou lectrice) perdu dans les méandres du net, échoué sur mon blog.

Salut à tous,

Aujourd'hui, nous allons découvrir comment bien choisir un kimono - Keikogi pour les puristes.

Pour commencer, prenez-le plutôt blanc (de préférence) et à votre taille. Ne rigolez pas, c'est important. Ensuite, il est à noter qu'il faut le prendre en fonction de son utilisation la plus extrême. Par exemple, vous voulez faire du Karate, et bien prenez un keikogi de Karate; ainsi si vous voulez pratiquer le Judo, grand bien vous fasse, prenez un kimono de judo. Une seule exception est a soulever. En effet, s'il vous prend l'idée de pratiquer l'athlétisme par exemple, en kimono, sachez qu'il sera préférable cette fois-ci de mettre un jogging. Ceci nuira moins à votre intégration sociale.

La prochaine fois nous verrons comment choisir un kimono en fonction de son épaisseur et de son vieillissement dans le temps et du climat.

J'ai trois amours dans la vie: HappyChikubi, Bruce Lee et la moto... ça rime pas mais je vous enfume.

Ce seront les sujets, brulant que je traiterai ici. Happy Chikubi pour le plaisir des yeux; Bruce Lee pour les arts martiaux; et la moto parce que j'aime ça aussi.